Regarder non plus avec les yeux mais avec les oreilles, c’est repenser notre paradigme anthropocentrique et percevoir différemment le monde qui nous entoure ; celui dont nous faisons partie et que nous sommes. “Le chant des vers” fait le choix d’une observation bioacoustique et éco-acoustique des sols afin d’examiner l’impact des différentes perturbations anthropiques : intrants chimiques, déchets industriels, métaux lourds, nuisances sonores, etc. sur la biodiversité de la région des Hauts-de-France.